Comment un champ électromagnétique agit-il sur le vivant ?

Réponse du Dr Messagier, Docteur en Médecine, Médecine Générale, CES de Physiologie Humaine Générale (voir interview complète):

C’est un problème compliqué et il est difficile d’y répondre simplement, car la Biophysique est une science nouvelle et cette question est le sujet des hypothèses les plus avancées de la Physique actuelle.

Cependant il y des bases fondamentales que l’on a tendance à oublier ou à occulter et qui sont simples, à savoir que l’homme est électromagnétique, depuis les atomes de ses cellules jusqu’à chacun de ses organes (l’œil, le cerveau, le cœur, etc.). Les êtres vivants génèrent, par l’ensemble de leurs activités biochimiques et biophysiques, de nombreux champs électromagnétiques internes dits endogènes. De plus, les cellules vivantes et leurs composants génèrent deux types de fréquences : des extrêmement basses fréquences dites « ELFs » et des fréquences dites « micro-ondes ». De ce fait, les rayonnements émanant des êtres vivants se trouvent dans les mêmes zones de fréquences d’émission que nos appareils électroniques.

La prise en compte de cette réalité fait défaut à certains scientifiques étrangers à la biologie. Ils semblent oublier que les champs électromagnétiques (endogènes) des organismes vivants peuvent entrer, selon les lois de la physique, en interaction avec les champs électromagnétiques externes des appareils rayonnants. Ces interférences relèvent pourtant des processus de physique élémentaire.

On peut comprendre que des phénomènes de résonance ou d’interférence entre les champs électromagnétiques des appareils et des êtres vivants peuvent créer des perturbations dans la physiologie des organismes exposés.

Pour expliquer la grande sensibilité de tout organisme vivant, même à des rayonnements de très faible intensité, et en simplifiant à l’extrême, on pourrait comparer cette réceptivité du vivant au réglage d’un poste de radio sur une longueur d’onde spécifique : on cherche la fréquence et quand on la trouve, on capte clairement la station, il y a communication. De même, il y a similitude entre certaines fréquences émises par des téléphones portables ou des écrans avec les fréquences émises par des êtres vivants; on pourrait dire de façon imagée que les cellules des êtres vivants sont connectées sur les mêmes longueurs d’ondes et ainsi reçoivent clairement des signaux, qui peuvent les perturber. Ces phénomènes de résonance ou d’interférence peuvent paraître très faibles, mais par leur accumulation dans le temps, la résistance du corps baisse, c’est ce qu’on appelle un stress biologique ou électromagnétique.

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Comment peut-on se protéger de ce stress électromagnétique ?

Réponse du Dr Messagier, Docteur en Médecine, Médecine Générale, CES de Physiologie Humaine Générale (voir interview complète):

La pollution causée par les ondes électromagnétiques peut perturber ou stresser l’organisme vivant à tous ses niveaux (depuis les ions de ses cellules jusqu’à ses organes, fonctions et même son état psychologique) mais il est tout aussi exact qu’une stimulation électromagnétique positive peut rétablir des dysfonctionnements, corriger un déséquilibre ou compenser un stress.

A partir de ces connaissances, il est possible de concevoir des dispositifs de protection contre les effets nuisibles des champs électromagnétiques. L’approche adéquate est alors de faire coexister le rayonnement des  appareils et de leurs utilisateurs grâce à d’autres champs électromagnétiques.

Il s’agit de ramener à la normale tous les dysfonctionnements cellulaires constatés. Cette démarche s’applique déjà en médecine pour favoriser, par exemple, la réparation de fractures osseuses par émission de fréquences spécifiques.

Dans cet esprit, les biophysiciens de l’équipe Tecnolab ont cherché à produire des champs électromagnétiques corrigeant les effets biologiques constatés sur les animaux ou les hommes exposés aux rayonnements des appareils, en tentant d’annuler l’ensemble des perturbations par une émission ou un champ de compensation. Ce champ émis simultanément au rayonnement, on pourrait dire « dans » ou « superposé » au rayonnement de l’appareil polluant, rend « biologiquement compatible » le champ électromagnétique de l’appareil irradiant (téléphone ou écran), sans modifier son intensité de fonctionnement.

Le champ de compensation est une oscillation magnétique d’ultra faible intensité, mais qui est cependant « audible » ou « captée » par tout organisme vivant. C’est donc un signal qui porte une information de compensation ou de correction au niveau des cellules vivantes et compense ainsi les effets de stress.

La mise au point de cette découverte biophysique a donné naissance à la technologie d’oscillation magnétique de compensation (nommée CMO en anglais). Des oscillateurs de bio-protection ont été développés pour compenser les effets biologiques des champs pour chaque type d’appareils rayonnants. Ces différents oscillateurs sont composés de solutions salines, structurées par une charge électromagnétique, spécifiquement adaptés au rayonnement stressant des différents appareils.

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Quelles sont les protections  obtenues  par cette oscillation de compensation ?

Réponse du Dr Messagier, Docteur en Médecine, Médecine Générale, CES de Physiologie Humaine Générale (voir interview complète):

Pour évaluer l’efficacité protectrice de ces différents oscillateurs, des études ont été réalisées en milieu universitaire chez l’animal (embryologie, immunologie, endocrinologie, biologie cellulaire) et chez l’homme (clinique, psychophysiologie, neuropsychologie, ophtalmologie), en Europe, au Japon et aux USA.

En résumé de la vingtaine de travaux universitaires qui ont été menés depuis 1993, on peut dire qu’ils ont tous démontré que le stress électromagnétique pouvait être évité par la technologie d’oscillation magnétique de compensation (CMO).

En microbiologie, on a constaté qu’à l’intérieur de globules blancs des « micronuclei » (ou micro-noyaux de la cellule), se multipliaient anarchiquement à l’exposition d’un téléphone portable et que l’oscillation de compensation (CMO) permettait de réduire cette multiplication.(1)

En embryogenèse, alors que les embryons exposés face à des téléphones ou à des écrans ont une mortalité embryonnaire de 60 % en moyenne, on peut obtenir un taux normal des naissances animales lorsqu’ils bénéficient d’une bioprotection électromagnétique par CMO.(2)

Sur le système immunitaire, hormonal et neuroendocrinien, des travaux ont montré des variations anormales des taux de production d’hormones d’adaptation au stress ( cortisol, mélatonine…) et d’anticorps : soit des augmentations ou des baisses entre 50 et 95 %  pour les animaux exposés aux appareils (tél. portable/écrans) et qui se rétablissent à leur taux normal avec la bioprotection électromagnétique. (3)

En clinique humaine, l’étude réalisée sur plus de 1 000 personnes travaillant sur écran par le Professeur Clements-Croome, Reading University (UK), montre la suppression de 33 % des symptômes de stress par l’utilisation des oscillateurs de compensation. Les symptômes se manifestent par : fatigue oculaire, yeux secs, démangeaisons, toux, éternuements, fatigue, maux de tête, douleurs de nuque, d’épaules, lombaires, problèmes de concentration, irritabilité,  angoisse etc. Concernant des utilisateurs de téléphone portable, la même réduction de ces symptômes est observée.(4)

Le Professeur M. Miyata a montré que les nombreuses micro-ulcérations de la cornée, provoquées par le rayonnement d’un écran, pouvaient être évitées  par l’oscillation de compensation.(5)

Source des études citées:
(1) Youbicier-Simo B.J. Radioprotecção (IRPA)(2000-2001)
(2) Youbicier-Simo B.J. Bioelectromagnetics (1997) 18 : 514-523
(3) Hyland G.H. Progress in Radiation Protection (IRPA) (1999)
(3)(1) Bastide M. Indoor and Built Environment (2001)
(4) Clements-Croome D., Jukes J. SYR Indoor Air (2000)
(5) Miyata M. Japanese Review of Clinical Ophtalmology (1999)

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Comment se rendre compte concrètement de l’efficacité des CMO ?

Réponse de Benoît Saint Girons, auteur et co-fondateur du Centre Oasis et de l’Ecole Suisse de Thérapratique:

Chacun développe une sensibilité spécifique aux ondes mais beaucoup d’utilisateurs de téléphones portables ou de téléphone sans fil DECT notent une désagréable sensation d’ondes et de chaleur au niveau de leur oreille et/ou cerveau. Personnellement, c’était intenable au-delà de cinq minutes et je plaçais alors le téléphone sur haut-parleur, ce que mon épouse appréciait moyennement. Depuis la mise en place du CMO MP12, cette sensation a totalement disparu et je peux passer la journée au téléphone, ce que mon épouse apprécie également moyennement.

Plus sérieusement, il s’agit certes là d’une expérience subjective mais elle m’a conforté dans la nécessité d’appliquer le principe de précaution et dans le sérieux de la technologie CMO, les seuls sur le marché à bénéficier de plus de dix années de tests biologiques!

Un autre moyen très concret de se rendre compte de l’efficacité des CMO est de les soumettre au test d’un organomètre, appareil de mesure des flux énergétiques de l’organisme, élaboré dans les années 1950 par le Dr Reinhold Voll (1909-1989). Concrètement, cet appareil (ci-dessous le « testeur énergétique » que nous proposons) mesure la résistivité des points terminaux des méridiens au niveau des mains et donc la vitalité de l’organisme et des organes correspondants.

Organometre Organometre2

Ce test a été réalisé le 21 mai 2012 sur ma personne (que ne ferait-on pour la science!) par un naturothérapeute et en présence d’un pharmacien:

– Une première volée de mesures sur différents points d’acupressures de la main (le plus souvent au bout des doigts) vise à prendre les données de références: celles de l’organisme au « repos ».

– Une seconde série de mesures est ensuite faite alors que je tiens dans la main un téléphone portable, non équipé des CMO. La valeur du point correspondant aux corticosurrénales qui était de 10 passe soudainement à 60, démontrant par là l’incidence des ondes électromagnétiques sur l’organisme.

– Une troisième série de mesures est faite alors que je tiens également un CMO à proximité du téléphone. Un rétablissement des paramètres est alors observé puisque l’aiguille de l’organomètre revient à 10, c’est à dire à sa valeur initiale. Le CMO MP23 a démontré son efficacité!

– L’efficacité du cône MF04 contre les ondes Wi-Fi a également été mesurée avec une baisse de plus de 20 points par rapport à une absence de protection. Sans possibilité de couper le Wi-Fi du cabinet ou des voisins, nous n’avions toutefois pas de donnée de référence sans ondes. Un rétablissement significatif des paramètres organiques a toutefois été à nouveau constaté.

Détail qui a son importance: les CMO sont (avec un autre dispositif) les seuls a avoir passé le test de l’organomètre avec succès! Les autres produits testés (liste non exhaustive) n’ont pas démontré d’amélioration significative des paramètres biologiques…

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Pourquoi donc des tests biologiques ?

Eh bien parce que des tests de mesure des ondes ne rimeraient à rien vis-à-vis des CMO qui émettent eux-mêmes des ondes (hyper-faibles il est vrai et donc mesurables uniquement à l’aide d’un appareil sophistiqué appelé SQUID, voir schéma ci-dessous) et ne modifient en rien la puissance des appareils émetteurs. Si le test d’efficacité des CMO consiste à mesurer le DAS du téléphone portable équipé, alors il est clair que le résultat du test sera négatif!

Squid

 Comme le souligne Grégoire Cautru, de la société CEM-Vivant, « Le problème est que la norme est fondée sur la mesure de la puissance émise uniquement : « si ça chauffe ce n’est pas bon, ça ne chauffe pas il n’y a pas de risque ». Donc on a régulièrement des études qui sont faites sur les dispositifs anti-ondes, et qui mesurent le DAS, la qualité de réception ou d’émission ; mais qui ne mesurent rien de biologique ! et qui concluent que ça ne peut pas marcher donc que ça ne marche pas. Pire, ils considèrent que les seules protections « efficaces » sont les treillis métalliques autour des téléphones, parce qu’elles diminuent le DAS. Sauf qu’expérimentalement on ne constate pas d’amélioration biologique, voire on constate une augmentation de la toxicité. »

Nous sommes ici dans les limites des tests scientifiques en matière de pollution électromagnétique: soit les tests ne portent que sur un type spécifique d’ondes (alors qu’un appareil émettra à chaque fois plusieurs types), soit ils portent sur la puissance des ondes, soit ils visent à faire le lien entre les ondes et le développement d’une pathologie unique (alors que les effets sur l’organisme sont multiples).

N’oublions pas aussi les sommes colossales en jeu et la puissance du lobby des opérateurs de téléphonie mobile et autres services internet. Comme le disait Upton Sinclair « Il est difficile pour un homme de comprendre une chose si son salaire dépend de ce qu’il ne la comprenne pas.»  Un certain nombre d’études sont ainsi toujours menées dans l’unique but de dédouaner les ondes au principe que « nous n’avons rien trouvé! »  Or quoi de plus facile de ne rien trouver si l’on cherche ailleurs ou à côté ?

Les tests biologiques seuls se révèlent ainsi pertinents vis-à-vis de la nocivité des ondes et l’efficacité des CMO, pour autant – évidemment – qu’ils soient menés dans les règles de l’art c’est-à-dire en double aveugle avec placebo. Voir sur ce sujet le protocole expérimental.

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Que penser des autres solutions du commerce ?

On ne peut donc parler de pollution ou de protection électromagnétique qu’à travers des constats biologiques: toute proposition de protection, tout test de mesure de toxicité des ondes électromagnétiques, pour être valable, doit passer par le constat biologique!

Plusieurs « technologies » ou systèmes sont proposées dans le commerce:

Principes de fonctionnement Avantages Inconvénients Conclusion
1- Filtre à micro-ondes.
Un étui contenant un « grillage » métallique fin bloque l’émission des hautes fréquences, selon le principe de la cage de Faraday.
(La valeur du SAR est par conséquent diminuée)
Pour les technologies filaires uniquement. – Ne convient pas aux technologies « sans fil » (wi-fi, téléphone portable), qui ont besoin des ondes en hautes fréquences pour fonctionner correctement.
– Ne filtre pas les basses fréquences, qui provoquent pourtant aussi des « effets biologiques »
Même en diminuant le SAR, la toxicité biologique peut augmenter avec ce type de filtre. (Youbicier-Simo B-J, Bastide M ; 1997-2001 Université de Montpellier)
Les effets thermiques dus aux micro-ondes sont bloqués, mais les effets non thermiques persistent, voire augmentent.
2- Déphasage.
Un micro-circuit va émettre une onde s’opposant aux ondes émises par l’appareil polluant.
Pour les technologies filaires uniquement. Ce déphasage ne peut prendre en compte que la fréquence sur laquelle cette antenne est accordée, et non pas l’ensemble du spectre  ; or les fréquences sont multiples, et en permanence en train de moduler. Utilisable sur des « cas simples » (pour lesquels peu de fréquences sont émises), ne nécessitant de liaisons sans fil.
3. Patchs à coller, pierres, symboles,… Pour les personnes en affinité avec ces approches non scientifiques. En l’absence de tests biologiques, comment prouver l’efficacité de ces approches hors effet placebo ? (voir ci-dessous) Sans remettre en cause l’intérêt des symboles de vie ou des pierres (orgonites ou autres), les ressources de la nature sont-elles vraiment les plus efficaces pour contrer des ondes artificielles nées de technologies récentes ?
 4- Emission d’un signal biologique de compensation
(Le CMO fait partie de cette catégorie)
Pour les technologies avec ou sans fil.
Il n’y a aucune altération du fonctionnement global de l’appareil.
L’efficacité ne peut pas être mise en évidence avec les moyens de mesures physiques habituels (oscilloscope, mesures d’intensité). Seules des études portant sur les effets biologiques (types pharmacologiques) peuvent valider ce type de protections.

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Il existe également quantité de « patchs » à coller au dos des téléphones…

Réponse de Benoît Saint Girons, auteur et co-fondateur du Centre Oasis et de l’Ecole Suisse de Thérapratique:

Il existe quantités de gadgets bien-être ou de « grigri new âge » mais très peu peuvent se targuer d’études ou de publications scientifiques.

Certains patchs se targuent de réduire jusqu’à 70% les ondes (plus précisément du DAS ou Débit d’Absorption Spécifique) mais une simple mesure en labo démontre que ce n’est pas le cas! D’ailleurs, même dans le cas où une réduction des ondes serait constatée, la nocivité de ces ondes vis-à-vis de l’organisme reste entière: le type d’ondes émit est en effet plus important que la puissance de ces ondes…

Les symboles, les pierres et autres pendentifs peuvent être efficaces pour réharmoniser une pièce ou favoriser la circulation de l’énergie mais on peut s’interroger sur leur efficacité à contrer une pollution générée par d’aussi nouvelles technologies (à l’échelle de la planète) que le Wi-Fi ou les antennes-relais. Même si des sensations énergétiques peuvent être ressenties, seules des tests biologiques permettront de dire si la protection est réelle et efficace ou non. Les tests via organomètre dont nous parlions plus haut disaient que non…

De plus, même lorsque des études sont citées, il convient de rester prudent:
– Sur quoi les études portent-elles exactement ? Les derniers modèles utilisés ou bien sur une technologie obsolète…
– Qui a réalisé les études ? Les vendeurs de la technologie ou bien des scientifiques indépendants…
– Le protocole des études est-il réellement scientifique c’est-à-dire réalisé en double-aveugle avec appareils et placebo ?
– Les travaux ont-ils été publiés dans une revue scientifique avec comité de lecture ?  Une présentation de la technologie lors de congrès ou de salons n’a aucune validité scientifique!

Au final, beaucoup de fabricants se basent sur l’effet placebo pour justifier des prouesses de leur technologie. Nous savons en effet que 30% au moins des guérisons proviennent du mental, c’est-à-dire en la croyance que la technologie sera efficace (et plus le produit est cher, plus les utilisateurs auront tendance à le trouver efficace!), que celle-ci le soit ou non. Seules des études en double-aveugle permettent ainsi de dépasser ce biais et de prouver l’efficacité d’une technologie quelconque.

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Au-delà de l’effet placebo, que faire concrètement ?

L’effet placebo en l’occurrence est dangereux. L’utilisateur aura psychologiquement l’impression que le grigri est efficace mais les ondes continueront de passer et pourront sur le long terme affecter l’organisme et induire des troubles de la santé.

Une fausse protection sera même plus dangereuse car elle induira un sentiment de sécurité et ne conduira donc pas à limiter l’usage des technologies émettrices d’ondes modernes.

Avec ou sans CMO, l’idéal reste en effet de limiter au maximum l’usage du Wi-Fi, du téléphone portable ou du sans-fil:

– Couper le wi-fi de votre box lorsque vous ne l’utilisez pas (notamment durant votre sommeil)  Voir l’article de l’Association Robin des Toits « Comment désactiver le Wi-Fi »  A noter que les box distribués en suisse disposent généralement d’un bouton pour couper l’émission: signalez-le à vos voisins!

– Si votre ordinateur est situé près de votre box, couper le Wi-Fi et utilisez le câble.

– Repassez à la maison à un téléphone sans fil analogique ou investissez dans un téléphone sans fil dernière génération, muni d’un mode ECO DECT, qui au minimum coupe les émissions lorsqu’il est en veille. Voir l’article de l’Association Robin des Toits « Téléphone sans fil analogique »

– Dans le cas d’une nouvelle construction, contactez un spécialiste pour obtenir un moindre rayonnement électromagnétique de votre installation électrique et internet (coûteux à réaliser si déjà en place…)

– Utiliser au maximum le kit main libre de vos téléphones (souvent fournis avec les appareils alors que ce n’était pas le cas il y a quelques années…) mais ne pas oublier que la réduction de l’intensité de rayonnement est loin d’être suffisante… En effet:

« Les règles de sécurité existantes négligent le fait le plus discriminatoire de tous, c’est-à-dire le caractère vivant de l’organisme irradié ; elles ne couvrent qu' »une seule face de la pièce »- le côté thermique – en laissant la personne exposée vulnérable à de possibles effets nocifs sur la santé, provoqués par le côté non thermique, complètement laissé dans l’ombre. La même critique s’applique bien sûr à tout système de protection dont le but est seulement une réduction de l’intensité du rayonnement micro-ondes émis par un téléphone portable vers ou dans la tête de l’utilisateur – soit par un écran de protection ou par l’emploi d’un kit mains libres. Car l’utilisateur est toujours vulnérable, particulièrement aux champs magnétiques de basse fréquence que l’on ne peut pas éliminer »  Extrait de la Conférence du Dr. Gerhard J. HYLAND, Professeur en Physique Théorique à l’Université de Warwick, UK

    – Se souvenir que les normes précisent que le temps maximum de communication doit être de 6 minutes avec un repos de 2 heures afin de laisser refroidir les liquides cérébraux… Ne pas être joignable toute la journée et couper son téléphone (messagerie) permettra de respecter cette règle de sécurité s’il n’est pas équipé d’un CMO…

Renforcer son système immunitaire via une alimentation aussi bio et complète que possible.

– Cesser toute consommation d’eau minérale au profit d’une eau dynamisée et biocompatible, aussi pure que possible, qui sera alors diamagnétique, c’est-à-dire qui s’opposera au champ magnétique ambiant et protègera naturellement des rayonnements ionisants.

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Il y a aussi le problème des écrans…

Se débarrasser de sa télévision limiterait effectivement bien des dégâts mais soyons réalistes: il est très difficile de se passer de la technologie moderne!  Qui ne travaille pas de nos jours avec un ordinateur ?  Quel adolescent ne dispose pas d’une console de jeu ?

De même, dans le cas du Wi-Fi, couper sa box n’aura pas grand intérêt si le voisin laisse la sienne allumée… En ville, nous sommes cernés par des dizaines d’émetteurs, antennes-relais ou box Wi-Fi!

Dans tous ces cas, les CMO demeurent la solution en aval et la seule, rappelons-le, à bénéficier de plus de dix ans d’études biologiques sérieuses.

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Dois-je vraiment tout acheter ? Quelles sont les priorités ?

Le principe de précaution justifie de se protéger mais tous les CMO ne sont heureusement pas indispensables.

En ce qui concerne les CMO individuels, il convient d’équiper en priorité les appareils avec lesquels vous avez un contact physique ou une proximité immédiate durant une longue période au quotidien: téléphone portable, sans-fil DECT, (MP23) ordinateur portable (AA12PC15) et éventuellement jeux vidéos (JV20)(du fait de la manette que l’on tient en mains).

Priorité devrait également être donnée à la protection des enfants dont le cerveau est en pleine croissance. Voir notre rubrique Les ondes et les enfants.

 Femme-tel-CMO  Penetration-ondes-cerveau
Deux minutes d’exposition suffiraient pour que l’activité électrique
du cerveau de l’enfant soit perturbée pendant plus d’une heure!

En ce qui concerne les CMO collectifs, le nouveau MF04 « Multifonction » sera évidemment le choix de base puisqu’il couvre l’ensemble des pollutions « collectives ». Pour une surface au sol de 100met une hauteur de 11m (environ 3 étages)

En déplacement enfin, à porter sur soi, le TR25 « Traveller » est le complément naturel du MF04 puisqu’il couvre également l’ensemble des pollutions « collectives » mais sur une zone de 12 m2 seulement. Dans les transports (avion, train ou voiture), dans les hôtels, au bureau ou dans le cartable des enfants, c’est la solution idéale.

En complément de ce qui précède, les personnes électro sensibles devraient envisager de s’équiper du HE22 qui a été développé spécifiquement

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pour elles.

Certaines affirmations circulant sur Internet demandent à être corrigées. Elles sont pour la plupart « intuitivement compréhensibles », mais restent inexactes.

Je mesure la même puissance émise par mon téléphone portable (ou ordinateur, WiFi, télévision, …) avec et sans le CMO

C’est tout à fait exact et complètement normal. Le CMO agit sur le biologique, et uniquement sur le biologique.  De façon générale l’objectif des patchs  « anti-ondes », quels qu’ils soient, est de vous procurer un mieux-être. Si donc vous souhaitez mesurer l’efficacité (ou l’inefficacité) d’un patch « anti-ondes », vous ne pouvez le faire que par des tests biologiques (ou en énergétique, type RAC ou pouls de Nogier si vous maîtrisez ce type de techniques). Une revue de consommateurs (Que Choisir pour ne pas la nommer) a publié une étude sur l’efficacité des « produits anti-ondes ». Ils ont mesuré 3 paramètres : le DAS (c’est à dire globalement le niveau de puissance), la qualité en émission, et la qualité en réception. C’est à dire le confort d’écoute. Il est donc logique qu’ils n’aient constaté aucun résultat valable, à partir du moment où aucun paramètre biologique n’a été mesuré. Pire ils ont conclu que la seule « protection » qui montrait une « amélioration » était la pochette contenant un petit grillage métallique. Ils ont bien mesuré une baisse du DAS (et c’est logique, ce type de grillage ayant un rôle de cage de Faraday, va couper les micro-ondes, donc diminuer la puissance totale émise par le téléphone). Cependant on a mesuré une augmentation de la toxicité biologique lorsque que le téléphone était équipé de ce type de filtre (Pr M. Bastique, Université de Pharmacologie, Montpellier). Cette revue de consommateurs a agit en toute bonne foi à partir du moment où le DAS constitue la norme officielle sur les effets sanitaires des ondes électromagnétiques, mais biologiquement on est en droit de se demander si ce paramètre est pleinement adéquat. Que cette même étude comparative des patchs « anti-ondes » soit réalisée avec un paramètre biologique comme les protéines de stress HSP70, et la conclusion s’imposera d’elle même : l’ensemble des téléphones portables sera retiré du marché. Ce n’est économiquement pas envisageable.
Donc mesurer le même niveau de puissance sur un téléphone avec et sans le CMO est tout à fait logique, c’est au niveau biologique qu’il faut regarder. Et les fabricants de téléphones le soulignent bien, vous risqueriez d’altérer le bon fonctionnement de l’appareil, et à terme de l’endommager si vous modifiez les caractéristiques techniques ou électroniques des appareils.

Il ne vous échappera pas que c’est une abérration totale d’affirmer les CMO puissent « absorder » les ondes. Il n’est quasi pas possible d’absorder des ondes, et encore plus difficilement les basses fréquences…

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Il est difficile de prouver les résultats

Oui de façon générale, et non de façon spécifique pour les CMO.
Une étude de validation biologique est difficile à mettre en place, et les CMO sont (à notre connaissance) les seuls produits anti-ondes à avoir réalisé ces tests biologiques. Et les résutats sont incontestables, il vous suffit simplement de parcourir ce site. Certains considèrent encore que c’est de la « pseudo-science », il faut simplement noter que certaines de ces études ont fait l’objet de publications scientifiques avec comité de lecture, et qu’il n’est pas possible de faire mieux en terme de validation scientifique.

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J’ai fait tester les CMO par des personnes électrohypersensibles

Attention, le cas des personnes électrohypersensibles, ou EHS, est extrêment complexe. Ces troubles d’hypersensibilité sont en effet multifactoriels, et les CMO seuls ne sont parfois pas suffisants. Il peut y avoir des phénomèmes d’intoxication (aux métaux lourds ou à d’autres composés chimiques), d’allergies, voire d’intolérance alimentaire. Les CMO pourront en corriger une partie, mais si les autres facteurs ne sont pas traités cette hypersensibilité ne sera pas pleinement corrigée.
Dans certains cas les personnes ont été hyper-enthousiastes sur l’efficacité des CMO, au point de qualifier de « bulle de tranquilité » leur appartement parisien situé en face d’une antenne relais, après avoir posé un CMO-BT13. D’autres ont été plus mitigés sur les produits.
Initialement les CMO ne sont pas conçus pour les personnes ayant développé des symptômes d’électrohypersensibilité. Cependant, depuis mars 2013 un CMO spécifique a été conçu, il s’agit du CMO-HE22. Ce CMO – HE22 est conçu pour compenser et s’opposer aux signatures électromagnétiques des principaux facteurs déclencheurs de réactions d’Hyper Sensibilité Electromagnétique (le CMO – HE22 ne se substitue pas aux autres CMO, il est complémentaire). Comme dit précédemment, le problème d’hypersensibilité étant multifactorielle, une efficacité à 100% n’est pas possible si on se limite à ne traiter qu’une seule cause. Le CMO-HE22 est néanmoins à votre disposition, en tant que particulier ou association, pour un essai gratuit de 4 semaines si vous le souhaitez (essai gratuit signifie que nous nous engageons à vous rembourser le produit s’il devait ne pas vous donner entière satisfation).

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Il parait que les CMO c’est de l’eau salée en mémoire

La composition de la solution active des CMO est bien évidemment beaucoup plus complexe que de l’eau salée, la structuration est bien évidemment beaucoup plus complexe que juste la secouer un peu. On est sur des propos clairement diffamatoires.

Maurice Fillion-Robin, directeur de Comosystems, créateur et fabricant des CMO, a demandé au journal la publication du droit de réponse reproduit ci-dessous.

Dans votre édition du mois de mai 2009, page 65, ainsi que dans l’éditorial, des contenus inexacts et préjudiciables jettent le discrédit sur moi-même, l’entreprise Comosystems et ses produits issus de la Technologie CMO, ainsi que sur ses partenaires scientifiques et commerciaux.

1. Contrairement à ce qu’affirme votre article, la majeure partie des expérimentations sur l’efficacité compensatrice des CMO, présentées en congrès scientifiques spécialisés, a fait l’objet de publications dans des revues scientifiques spécialisées à comité de lecture, notamment :

– Pr Reba Goodman (New York) : Journal of Cellular biochemistry, vol. 89, Issue 1, 2003, p. 48-55 ;
– Pr Mikio Miyata (Tokyo) : Japanese review of clinical ophtalmology, vol. 11, n° 93, 1999, p. 1634-37, 32-35 ;
-Radioprotecçao, vol. 1, Nb 8-9, 2000-2001, p. 106-123.

2. Onze experts universitaires (7 Professeurs et 4 Docteurs) et leurs collaborateurs ont travaillé dans le respect des protocoles scientifiques (libre à l’AFSSAPS de ne pas en convenir) et toutes leurs expérimentations en biologie ou physiologie ont montré l’effet compensateur de la Technologie CMO sur les paramètres testés, y compris pour l ‘impact des rayonnements GSM sur l’ADN.

3. Concernant le test de Dijon dénoncé selon vos sources par le chercheur qui affirme avoir « testé le produit (CMO) mais il n’a aucun effet » : ses commentaires sont scientifiquement irrecevables. Il s’agissait en fait d’une premier test d’un nouveau protocole non validé, qui n’a pu être repris du fait de l’arrêt de l’activité de Tecnolab.

4. Votre journaliste assène : « La recette de Comosystems a été dévoilée lors de son examen par l’AFSSAPS… Une pincée de sel de cuisine… » ; il suffit d’une spectographie de la solution contenue dans les CMO pour constater que sa composition chimique est complexe et ne peut être assimilée à celle du simple « sel de cuisine ». Par ailleurs, la description du traitement électromagnétique réalisé par la solution CMO est fausse : ce procédé est tenu secret, il n’est donc ni possible ni concevable que l’AFSSAPS ou quiconque puisse émettre un avis pertinent sur ce sujet.

5. Quant aux propos tenus par votre journaliste sur la mémoire de l’eau, ils n’engagent que lui. Le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de Médecine 2008 affirmait dès 2007 au sujet des recherches du Dr Benvéniste : « Mes travaux sur le virus du Sida m’ont conduit à me rapprocher de ses idées (…). Je pense qu’on reconnaîtra finalement que Benvéniste avait raison ».
Maurice Fillion-Robin, directeur général de Comosystems.

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